Il y a plein d’artistes que j’apprécie, que ça soit pour leurs visions de la musique ou simplement leurs capacités à créer et donner vie à une œuvre.
Aujourd’hui, je voudrais vous faire connaitre une artiste à part, au minois d’un enfant qui peine à devenir adulte et aux doigts de fée qui savent manier la guitare comme la contrebasse ou le banjo. A ce qu’il parait elle porte un secret … Mais lequel ?
Lorsqu’on parle de la scène folk américaine on ne peut ne pas évoquer Elliott Smith, qui 15 ans plus tard, son héritage est resté intact. Comme Elliott, cette artiste à part joue avec une espèce de mélancolie sous un air de folk acoustique.
Elle s’appelle Élisabeth, dite Liz Isenberg, âge inconnu (Francis Ford Coppola a bien parlé d’un homme sans âge, mais pas une femme ?… Bizarre). C’est une jeune folkeuse américaine dont le premier album, Seeport, Seaport, Seeport, a été publié par Leisure Class Records en 2006. (en vente sur le site de son label). Pleins de belles mélodies prenantes, et, une voix affectueuse, émotive et touchante. Amoureux de Mirah ou de Cat Power aux temps de Dear Sir et Myra Lee, vous allez succomber au charme et à l’univers de Liz.
Liz Isenberg fait partie de ces artistes anonymes, avec seuls compagnons une guitare, un microphone et une connexion Internet. Ah j’ai oublié, et le talent ! Car il suffit de tendre l’oreille aux chansons de Liz pour comprendre qu’on a affaire à une véritable et talentueuse artiste.
Son nouvel album intitulé Indifferent & Imaginary, pour l’instant vendu seulement lors de ses concerts, est une réussite et fait de Liz une artiste originale surprenante et surtout à connaître.
Après l’écoute de ses chansons et avoir fait le tour de son univers, il est clair que le secret qu’elle porte est sa musique.
