Ce septième album des Foo Fighters fut très attendu, peut-être parce que Dave Grohl a annoncé que c’était une bombe ou parce que Nevermind fête ses 20 ans cette année et qu’on y retrouve des noms qui font rêver dessus. En effet, Butch Vig est à la production, Krist Novoselic apparait sur un titre et Kurt Cubain en guest de luxe… (On me signale dans l’oreillette que le monsieur est mort, toutes mes excuses, je remets mes fiches à jour).
Dès la première écoute de l’album une chose est sûre : ça envoie grave. Comme le dit le grand manitou de Désinvolt : le nouvel album des Foo Fighters, il roxxe. Wasting Light donne directement envie de bouger la tête en rythme et de se lancer dans un pogo de folie.
Dave Grohl ne se repose pas sur les lauriers du grunge. Il est toujours à la pointe en ce qui concerne le gros son qui tache. Il nous fait du bon garage rock, en même temps c’est logique quand on sait que l’opus a été enregistré à l’ancienne dans le garage de Dave Grohl, himself, sur un quatre pistes en analogique comme au « bon vieux temps » où le numérique n’existait pas encore.
Ces onze titres sont très efficaces, aucune fausse note et c’est un plaisir à l’écouter et à le réécouter. Wasting Light est un album à écouter à fond dans le casque ou sur la chaine hifi (pour faire ch*bip* les voisins).
Tracklist :
- Bridge Burning
- Rope
- Dear Rosemary
- White Limo
- Arlandria
- These Days
- Back & Forth
- A Matter Of Time
- Miss The Misery
- I Should Have Known
- Walk