Lofofora sort un nouvel album bientôt, je me dis que cela serait bien que je le chronique.
Bref, je contacte le responsable de la promo du groupe. Il me dit « OK, pas de problème je te l’envoie ». Je reçois le CD, c’est jour de fête. Je mets le CD dans le mange-CD. J’appuie sur play. Le premier titre, Utopiste, commence. Je me dis que, non, Lofofora n’a pas perdu sa rage.
Bref, j’écoute le CD. Je secoue la tête en rythme. Je matte la pochette. C’est Eric Canto qui l’a faite. Je me dis que j’aime vraiment bien son boulot. Après la pochette de August The Month Of Misfortune de Lunatic Age et celle de Failles de Mass Hysteria, celle-ci confirme son talent et son bon goût musical. Je me dis que je pense trop et qu’il faudrait que j’en parle dans la chronique.
Bref, le CD se finit. Je me dis qu’il est vraiment bien, dans la droite ligne de ce que fait Lofofora, que ça cogne fort, que ça balance toujours autant. Je relance le CD. Faut que je commence à écrire cette chronique.
Bref, en écoutant le CD, je checke mes mails. Je passe sur Facebook. Je réponds à mes mails. Je repasse sur Facebook. Je rechecke mes mails. Je retourne sur Facebook. Je rerechecke mes mails. Le CD se finit. J’ai toujours rien écrit. Ce Monstre Ordinaire de Lofofora est vraiment très très bien. Il est trop tard pour commencer la chronique. J’en ai pris plein les oreilles. J’ai besoin de décompresser. Je vais jouer, un petit jeu à l’univers post-catastrophe nucléaire, ça me fera le plus grand bien.
Bref, je n’ai pas avancé sur ma chronique. Je relance le CD. Je me dis qu’il faut que je fasse cette chronique. Je commence à penser à ce que je vais écrire. Je trouve que Reuno met toujours le doigt là où ça fait mal. Que sans être politiquement engagé, c’est un album engagé, qui fait réfléchir sur le monde qui nous entoure. Et que sans être larmoyant, sans parler de la misère du monde, il arrive à faire réfléchir. Il ne faut pas que j’oublie de parler de la voix toujours aussi puissante de Reuno, du petit nouveau, Vincent Hernault, qui tape fort et bien sur ses fûts.
Bref, il est dimanche soir. J’ai toujours rien écrit sur ce Monstre Ordinaire. Je reprends le communiqué de presse. J’écris deux-trois banalités sur le CD. Cela sera prêt pour lundi.
Bref, j’ai chroniqué Monstre Ordinaire de Lofofora.
- Tracklist :
- Utopiste
- Les Évadés
- Élixir
- Les Conquérants
- La Merde en Tube
- Le Visiteur
- Ma Folie
- Un Mec sans Histoire
- Cannibales
- Frustrasong
- La Beauté et la Bête
Site officiel de Lofofora
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6 commentaires
[…] plus les Lofo, poids lourd du Métal français. Le groupe revient avec son septième opus : Monstre Ordinaire et une chose est sûre : ils sont toujours cheryl cole pokies aussi énervés. Quand à The Dukes, […]
[…] #Métal #Tagada Jones TweetPartagerLofofora est de retour sur la route pour défendre son Monstre Ordinaire. Et comme c’est un groupe généreux qui aime partager, ils ont décidé de profiter, avec leur […]
[…] 15 novembre 2011 à 09:00 par Petit Nounours 0 #Lofofora #Métal TweetPartagerAprès une chronique, brève, de Monstre Ordinaire, le dernier album de Lofofora, voilà une petite interview (ou pas) avec Reuno, un mec super sympa, […]
Excellente chronique!
Super chronique ! 🙂
allez hop, on file découvrir ca sur deezer! merci l’nounours.