Vous l’aurez remarqué, Désinvolt aime les Ogres de Barback et les Ogres le leur rendent bien ! Après un report de leur concert nantais, une interview, un article sur le nouveau Pitt Ocha … les revoilà !
Pour un de mes premiers concerts angevins, je suis plus que gâtée ! Les Ogres au Chabada !
Et une occasion de les voir pour la énième fois ! Décidément, je ne m’en lasserai jamais! (En plus, cette soirée est organisée par l’association Rue Tabaga et Couvre Feu ! J’ai l’impression d’être chez moi!)
Ces artistes amoureux de la scène reviennent avec leur tournée allégée en poids et en décor mais toujours avec ce peps qui les caractérise.
Après les avoir croisés au détour d’un camping cet été, j’avais drôlement hâte d’arriver à ce jour !
20h, il bruine, mais rien n’entache notre bonne humeur, on va au devant d’un ****** de bon concert !
Les Voleurs de Swing arrivent sur scène. « Bienvenue en Synarchie ! « Les 3 compères nous accueillent dans ce joli pays si loin et en même temps si près (pour y accéder, il suffit d’un bon grain de folie !)
_ Les Voleurs de Swing, c’est l’art de faire de la flûte à bec un instrument de la mort qui tue ! Oui oui cet instrument qu’on a du supporter pendant notre scolarité, nous apparaît maintenant comme un instrument qu’on devrait tous savoir jouer !
Ils chauffent bien la salle ! (et c’est peu dire !) Certains commencent à danser, sauter… Ils font preuve d’une interaction incroyable avec le public ; ils blaguent, discutent …
_ Une première partie du tonnerre ! J’en redemande !
Après l’intermède bière, achat de CDs, autographes, on se replace !
_ Décor sobre (pour les Ogres !), l’ambiance surchauffe. Quel bonheur de les retrouver sur scène ! Ils sont heureux d’être là et nous aussi ! Après la tournée Fin de chantier, ils jouent dans le soft, mais tout en surpuissance.
_ De l’énergie à revendre, de la musique qui fait rêver, on danse, on valse, on saute, on fait l’amour (enfin… on s’aime, on les aime !) … En somme que de la joie !
_ Les tubes sont repris, quelques chansons pitt ochesques, une nouvelle, un air deux familles avec les Hurlements d’Léo virtuellement présents, une reprise des Oiseaux de passage de Brassens …
_ Les Ogres de Barback sont égaux à eux-mêmes, généreux et vrais, toujours là pour nous donner le sourire !
On en ressort des étoiles pleins les yeux en attendant vivement la prochaine rencontre !
Seule déception: J’ai trouvé le public peu réceptif …
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